标题:Marche l'ombre
标签: 总谱
艺人:Renaud
专辑:Marche l'ombre
作词:Renaud S閏han
作曲:Bucolo, Séchan
Paroles: Quand l' baba cool cradoque Est sorti d' son bus VolksWagen Qu'il avait gar comme une loque Devant mon rad' J'ai dit Bob qu'閠ait au flipp' " Viens voir le mariole qui s' ram鑞e Vise la d間aine Quelle rigolade " Patchouly patogas Le Guide du Routard dans la poche Har Krishna mort Cheveux au henn Oreilles perc閑s Tu vas voir qu' tous les coups Y va nous taper cent balles Pour s' barrer Khatmandou Ou au N閜al Avant qu'il ait pu dire un mot J'ai chop l' mec par le paletot Et j' ui ai dit " Toi tu m' fous les glandes Pis t'as rien foutre dans mon monde Arrache toi d' l t'es pas d' ma bande Casse toi tu pues Et marche l'ombre Une p'tite bourgeoise b閏heuse Maquill閑 comme un carr d'as A d閎arqu dans mon gastos Un peu plus tard J'ai dit Bob qu'閠ait au flipp' " Reluques la tronche la pouffiasse Vises la culasse Et les nibards " Collants l閛pards homologu閟 chez SPA Mono et Shalimar Futal en ska comme Travolta Qu'est ce qu' vient nous frimer la t阾e Non mais ess' croit au Palace J' peux pas sacquer les starlettes Ni les blondasses Avant qu'elle ait bu son cognac J' l'ai chop閑 par le colback Et j'ui ai dit " Toi tu m' fous les glandes Pis t'as rien foutre dans mon monde Arrache toi d' l t'es pas d' ma bande Casse toi tu pues Et marche l'ombre " Un p'tit Rocky barjot Le genre qui s'est gour d' trottoir Est v'nu jouer les Marlon Brando Dans mon saloon J'ai dit Bob qu'avait fait tilt " Arr阾e j'ai peur c'est un blouson noir J' veux pas d'histoires Avec ce clown " Derri鑢e ses pauvr' Rayban J' vois pas ses yeux Et 鏰 m'閚erve Si 鏰 s' trouve i' m regarde Faut qu'il arr阾e sinon j' le cr鑦e Non mais qu'est ce que c'est qu' ce mec Qui vient user mon comptoir L'a qu' r'tourner chez les Grecs Se faire voir Avant qu'il ait bu son viandox J' l'ai chop contre l' juke-box Et j'ui ai dit " Toi tu m' fous les glandes Pis t'as rien foutre dans mon monde Arrache toi d' l t'es pas d' ma bande Casse toi tu pues Et marche l'ombre " Pis j' me suis fait un punk Qu'avait pas oubli d'阾re moche Et un intellectuel en Loden genre Nouvel Obs' Quand Bob a massacr l' flipper On n'avait plus une thune en poche J'ai r閒l閏his Et j' me suis dit " C'est vrai que j' suis 閜ais Comme un sandwich SNCF Et qu' demain j' peux tomber Sur un balaise qui m' casse la t阾e Si c' mec l me fait la peau Et que j' cr鑦e la gueule sur l' comptoir Si la mort me paye l'ap閞o D'un air vicelard Avant qu' m'emm鑞e voir la haut Si y a du monde dans les bistrots J'ui dirai " Toi tu m' fous les glandes Pis t'as rien foutre dans mon monde Arraches toi d' l t'es pas d' ma bande Casse toi tu pues Et marche l'ombre " " Casse toi tu pues Et marche l'ombre " " Casse toi tu pues Et marche l'ombre "
节拍: ♩ = 99
Petit Portoricain, bien intégré quasiment New-Yorkais
Dans mon building tout de verre et d’acier,
Je prends mon job, un rail de coke, un café,
Petite fille Afghane, de l’autre côté de la terre,
Jamais entendu parler de Manhattan,
Mon quotidien c’est la misère et la guerre
Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l’autel, de la violence éternelle
Un 747, s’est explosé dans mes fenêtres,
Mon ciel si bleu est devenu orage,
Lorsque les bombes ont rasé mon village
Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l’autel, de la violence éternelle
So long, adieu mon rêve américain,
Moi, plus jamais esclave des chiens
Ils t'imposaient l’islam des tyrans
Ceux-là n'ont-ils jamais lu le Coran ?
Suis redev’nu poussière,
Je s’rai pas maître de l’univers,
Ce pays que j’aimais tellement serait-il
Finalement colosse aux pieds d’argile ?
Les dieux, les religions,
Les guerres de civilisation,
Les armes, les drapeaux, les patries, les nations,
Feront toujours de nous de la chair à canon
Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l’autel, de la violence éternelle
Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulvérisés, sur l’autel, de la violence éternelle.