标题:Banale Song
艺人:Alain Souchon
作词:Alain Souchon / Louis Chedid
作曲:Alain Souchon / Louis Chedid
banale song, banale song, banale song... quel plaisir de dire ce simplissime po鑝e, je t'aime, je t'aime, je t'aime, que les lumi鑢es s'閠eignent, je t'aime, et que 鏰 nous entraine, que 鏰 nous enm鑞e, quel joli discour ces mots sans rien autours je t'aime, je t'aime, je t'aime, quelle 閙otion quelle douceur extreme banale song, banale song, je sais mais j'en ai rien faire banale song, pardon aux playboys litt閞aires, banale my song pour eux mais pour moi super song, banale song, on peut pas trouver mieux qu'cette banale song s'dire les yeux dan les yeux c'est une banale song mais c'est une super song, quel plaisir de dire ce simplistique po鑝e, je t'aime, je t'aime, je t'aime, quel joli discour, ces mots sans rien autour, banale song, banale song, c'est une banale song, mais c'est une super song on n'peut pas trouver mieux qu'cette banale song s'dire les yeux dans les yeux quel joli discour, ces mots sans rien autour, banale song, banale song, c'est une banale song... (merci Sandra !)
节拍: ♩ = 104
Dans les poulaillers d'acajou,
Les belles basses-cours à bijoux,
On entend la conversation
De la volaille qui fait l'opinion.
Ils disent
On peut pas être gentils tout le temps.
On peut pas aimer tous les gens.
Y a une sélection. C'est normal.
On lit pas tous le même journal,
Tous ces campeurs sous mes persiennes.
Quels sont ces gens sur mon plongeoir?
Dans les poulaillers d'acajou,
Les belles basses-cours à bijoux,
On entend la conversation
De la volaille qui fait l'opinion.
Ils disent
On peut pas aimer tout Paris.
N'est-ce pas y a des endroits la nuit
Où les peaux qui vous font la peau
Sont plus bronzées que nos petits poulbots?
C'est pas ce qui faut sous nos climats.
Y a des taxis qui ont peur du noir.
Dans les poulaillers d'acajou,
Les belles basses-cours à bijoux,
On entend la conversation
De la volaille qui fait l'opinion.
Ils disent
Que font ces jeunes, assis par terre,
On dirait qu'ils n'aiment pas le travail.
Ça nous prépare une belle pagaille.
Nous vivons des temps décadents.
Dans les usines de mon grand-père."